Professeur·e·s invité·e·s

Dans le cadre de leurs travaux, les Groupes de Travail « Penser la production de l’urbain entre Suds et Nords : approches, catégories, méthodes », « Images, Sons et Territoires » et « Circulation des modèles et hétérogénéité des développements » du LabEx DynamiTe ont invité Solomon BENJAMIN pour une période d’un mois, à compter du mercredi 26 octobre 2022.

Solomon BENJAMIN est une voix qui compte dans les études urbaines, abondamment cité à l’international pour ses travaux sur la production populaire de la ville (occupancy urbanism) et son approche critique des études sur l’urbanisme global et des systèmes de production urbains. Après un doctorat au Massachusetts Institute of Technology et un poste de professeur associé à la University of Toronto, il est revenu en 2009 en Inde. Il est à présent professeur d’études urbaines à l’Indian Institut of Technology of Madras. Formé initialement comme architecte, outre ses travaux innovants sur l’analyse des capacités des gens à produire la ville et subvertir sa gouvernance et ceux sur la petite production électronique, il a développé un travail graphique original.

Ses travaux s’inscrivent pleinement dans les thématiques scientifiques des trois Groupes de Travail à l’origine de son invitation. Son séjour a permis de renforcer les liens entre ces trois groupes, et promet de déboucher sur une série de publications partagées.

Dans le cadre de ses travaux, le Groupe de Travail « Changements environnementaux et sociétés dans le passé » du LabEx DynamiTe a invité M. Rafael COBOS pour une période de trois mois, à compter du 11 janvier 2016.

Pendant son séjour, Rafael COBOS a pris part aux recherches menées au sein du Groupe de Travail sur les perspectives archéologiques et environnementales dans le Nouveau Monde et l’Ancien Monde. Il a également donné des conférences et des cours sur ce sujet.

Rafael COBOS est professeur à l’Université Autonome du Yucatan à Merida (Mexique). Il est également membre de la Sistema Nacional de Investigadores, agence gouvernementale mexicaine pour la promotion et l’évaluation de la recherche professionnelle. Ses recherches sont centrées sur le changement climatique, la colonisation au cours de la période classique de la Péninsule du Yucatan, du Belize et du Salvador, ainsi que sur les questionnements liés à la complexité sociale, l’urbanisme et les villes, le commerce et les échanges, et la spécialisation économique.

Dans le cadre de ses travaux, le Groupe de Travail « Intégrations régionales » du LabEx DynamiTe a invité M. Joaquin FARINÓS DASÍ pour une période de trois mois, du 1 ^er mars au 31 mai 2014.

Joaquin FARINÓS DASÍ est géographe, professeur de géographie régionale à l’université de Valence et responsable du pôle développement territorial, gouvernance et eEnvironnement à l’institut pour le développement locale en Espagne. Il est engagé dans plusieurs projets de coopérations européennes.

Découvrez notre interview de Joaquin FARINÓS DASÍ.

• Que connaissiez-vous du LabEx DynamiTe avant de le rejoindre en tant que professeur invité ?

Mon premier contact avec le LabEx DynamiTe s’est fait au travers de discussions concernant les différentes options dont je disposais pour financer mon séjour en tant que professeur à Paris.

En l’intégrant, j’ai eu l’occasion d’en apprendre plus sur son organisation, ses Groupes de Travail et ses activités, surtout en matière de formation. J’ai en effet eu la chance d’être intégré au programme de Master de l’Université Paris 7 Denis Diderot (Master 2 Aménagement et développement local, Master 1 Métiers des études, du conseil et de l’intervention, option aménagement et développement local) afin de donner des enseignements.

• Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre le LabEx en tant que professeur invité ?

Il y a deux raisons à cela. La première est d’ordre pratique : je connaissais déjà les travaux de recherche de certain·e·s membres du LabEx DynamiTe, que j’avais rencontré·e·s auparavant pour différents types de collaborations.

La seconde raison tient plus aux thématiques du LabEx : je suis un géographe, intéressé par des sujets tels que les sciences humaines et sociales, la géographie régionale et spatiale, ainsi que les politiques urbaines. Au sein du LabEx DynamiTe, j’ai pu profiter du regard croisé de différent·e·s chercheur·euse·s en sciences humaines et sociales, dans un cadre stimulant.

• Quelle influence cette expérience a-t-elle eu sur vos recherches ?

Cela a été particulièrement bénéfique pour moi de prendre part à plusieurs activités du LabEx, notamment aux séminaires thématiques à l’Institut de Géographie, qui fait office de référence en matière de géographie au niveau européen.

Cela m’a offert l’opportunité d’en apprendre plus sur de nouveaux travaux de recherche développés par des spécialistes en sciences sociales, géographes mais aussi économistes, politologues et spécialistes juridiques et administratifs. J’ai pu, grâce à cela, compléter mes perspectives initiales sur la façon d’aborder et d’analyser des sujets comme la géographie politique et régionale, et la manière dont les territoires et la société politique sont liés.

Cela s’est révélé très intéressant d’appréhender ces aspects sous un nouvel angle. Une vraie source d’inspiration, et une manière stimulante d’envisager les processus de territorialisation. D’ailleurs, à la suite d’échanges avec de nombreux·euses membres du LabEx DynamiTe à ce sujet, nous avons décidé d’initier un accord de collaboration afin de développer plusieurs activités. Parmi elles, un projet éditorial qui sera publié à la fin de l’année 2015, et qui traitera de la question du territoire et des politiques d’aménagement, et de la façon de les placer au cœur des débats.

En résumé, ce séjour m’a permis d’en apprendre plus sur l’essence même du concept d’ « aménagement du territoire » à travers une approche multidisciplinaire, ce qui a constitué l’un des aspects les plus enrichissants de mon expérience au sein du LabEx DynamiTe.

Dans le cadre de ses travaux, le Groupe de Travail « Mobilité » du LabEx DynamiTe a invité Mme Donna GABACCIA du 17 au 24 mars 2018.

Pendant son séjour, Donna GABACCIA a assuré plusieurs conférences.

Donna GABACCIA est Professeure à l’Université de Toronto. Elle est une spécialiste mondialement reconnue de la migration internationale, des études sur le genre et l’alimentation. Elle a écrit et édité une quinzaine de livres sur l’immigration américaine, la migration dans l’histoire du monde et l’histoire de la diaspora italienne à travers le monde. Elle a été Présidente de la Social Science History Association et de la Society for the History of the Gilded Age and Progressive Era. Elle a reçu de nombreux prix et distinctions, dont le prix 2013 du service communautaire de l’Université du Minnesota, pour son travail auprès de migrants et de communautés de réfugiés.

Dans le cadre de leurs travaux, les Groupes de Travail « Penser la production de l’urbain entre Suds et Nords : approches, catégories, méthodes », « Images, sons et territoires » et « Mobilités et spatialités » du LabEx DynamiTe ont invité Violaine JOLIVET pour une période de quatre semaines, à compter du lundi 16 mai 2022.

Violaine JOLIVET est professeure agrégée en géographie à l’université de Montréal. Reconnues dans le champ des études urbaines, ses recherches portent actuellement sur les nouvelles formes d’exclusion générées par la gentrification, la touristification ou encore la financiarisation du logement. Elle pratique depuis longtemps la comparaison internationale, avec comme terrains privilégiés La Havane et Montréal.

Ses recherches s’inscrivent pleinement dans le projet scientifique des Groupes de Travail à l’origine de cette invitation. Le programme d’activités pour son séjour de recherche à Paris a été riche et varié : présentations lors de séminaires, journée d’étude internationale sur la comparaison, projection-débat et partage d’expériences autour de la réalisation de podcast.

Les Groupes de Travail « Produire la ville « ordinaire » » et « Mobilité » du LabEx DynamiTe ont accueili Mme Ana LANNA et M. Renato CYMBALISTA, professeurs à l’Université de São Paulo, pour une durée d’un mois entre novembre et décembre 2015.

Cette invitation a été le fruit d’une collaboration entre les deux Groupes de Travail. Elle s’est parfaitement articulé avec les recherches menées par ces derniers. Les travaux des deux professeur·e·s invité·e·s portent en effet sur les transformations des quartiers péri-centraux de São Paulo, tant du point de vue des dynamiques à l’œuvre que du rôle des migrants dans ces dynamiques.

Ana LANNA et Renato CYMBALISTA ont ainsi participé à la première journée d’étude co-organisée par les deux Groupes de Travail, intitulée « Migrations internationales, migrations internes et genèse de la ville. La formation des quartiers péri-centraux de São Paulo et Rio de Janeiro, fin XIXe – première moitié du XXe siècle ».

Outre cette journée d’étude, Ana LANNA et Renato CYMBALISTA ont profité de leurs séjours pour donner des conférences et dispenser plusieurs heures de cours, notamment à des étudiant·e·s des universités Paris 1 Panthéon-Sorbonne et Paris Diderot.

Ana LANNA est professeure titulaire et responsable du département d’histoire de l’architecture de la faculté d’architecture de l’université de São Paulo. Ses domaines de recherches se situent en histoire, plus particulièrement sur l’histoire du Brésil et principalement dans les champs suivants : histoire des villes, patrimoine culturel, immigration et travail, histoire urbaine et histoire sociale. Elle est en outre présidente du CONDEPHAAT (institut du patrimoine de l’État de São Paulo).

Renato CYMBALISTA est professeur au département d’histoire de l’architecture et esthétique du projet, urbanisation et urbanisme à la faculté d’architecture de l’université de São Paulo. Il a coordonné entre 2003 et 2008 le programme d’urbanisme de l’institut des études et de formation en politiques sociale. Il a également été directeur adjoint de la revue brésilienne des études urbaines et régionales entre 2010 et 2012. Il est président de l’Instituto Pólis depuis 2012. Il est aussi président de l’association pour la promotion de la propriété communautaire, fondée en 2015.

Dans le cadre de ses travaux, le Groupe de Travail « Intégrations régionales » du LabEx DynamiTe a invité Mme Eduarda MARQUES DA COSTA pour une période d’un mois, à compter du 18 janvier 2016.

Pendant son séjour, Eduarda MARQUES DA COSTA a assuré plusieurs conférences.

Elle a également assuré, au niveau master de l’université Paris Diderot, plusieurs cours sur le thème de l’évaluation des politiques européennes.

Eduarda MARQUES DA COSTA est professeure associée à l’Institut de Géographie et d’Aménagement du Territoire de l’Université de Lisbonne et chercheure au Centre d’Études Géographiques de la même Université, où elle coordonne le groupe de recherche « MOPT – Modelação, Ordenamento e Planeamento Terrritorial » (« Modélisation, Planification et Aménagement Territoriale »). Ses recherches sont centrées sur la planification urbaine et régionale et la définition et l’évaluation des politiques publiques. Récemment, elle a édité un ouvrage en collaboration avec FASSMAN, RAHURT et HUMER : 2015 – Services of general interest: European perspectives and national insights, ed. FASSMAN H, RAHURT D., MARQUES DA COSTA E., HUMER A. (2015) – V&R Vienna University Press, 275 pp.

Découvrez notre interview d’Eduarda MARQUES DA COSTA.

• Pouvez-vous nous en dire plus sur votre expérience en tant que professeure invitée du LabEx DynamiTe ?

Je suis géographe et spécialiste de l’aménagement ainsi que professeure à l’Institut de géographie et d’aménagement du territoire à l’Université de Lisbonne. D’un point de vue professionnel, le mois que j’ai passé au LabEx a été passionnant. J’ai passé ce mois à travailler avec Frederic SANTA MARIA, et j’ai eu l’opportunité de rencontrer de nouveaux collègues et d’en revoir certain·e·s que j’avais déjà croisé·e·s lors de précédents projets et partenariats.

Pendant ma visite, j’ai donné des conférences pour le Master M2 ADL- Aménagement et Développement Local, sur des sujets en rapport à la « Surveillance et l’évaluation du processus de planification – l’exemple de la politique de cohésion ». J’ai également donné deux conférences pour le LabEx DynamiTe, la première sur « Les services d’intérêt général et la cohésion territoriale dans l’Union européenne », et la seconde intitulée « Les villes saines : des concepts à l’aménagement urbain ». Deux très bons moments de discussion dans un contexte multidisciplinaire.

• Quels sont les apports d’une telle expérience dans vos recherches ?

L’expérience a été positive. Ces dernières années, j’ai réalisé des recherches sur la politique de cohésion et sur les systèmes d’évaluation, mais également sur l’aménagement du territoire dans un contexte européen. J’étudie également les villes-santé et les stratégies d’urbanisme.

Ce séjour a non seulement été l’occasion d’obtenir de nouvelles références spécifiques sur ces sujets, mais il m’a également donné la possibilité d’échanger des idées et des sujets de recherche avec des collègues. Dans ce contexte, l’entrevue avec le « CGET- Département Mission des affaires européennes – Bureau de la cohésion territoriale et urbaine » et la prise de contact avec le « Réseau français des Villes-santé de l’OMS » représentent d’autres opportunités de développement pour mes recherches appliquées.

• Après cette expérience au sein du LabEx DynamiTe, comment allez-vous continuer à collaborer avec ses chercheur·euse·s ?

Ma première coopération avec des chercheur·euse·s de l’Université de Paris remonte à 1998, dans le cadre du Schéma Aménagement du Territoire Européen. J’ai ensuite travaillé sur le projet Eurobroadmap du FP7, et j’ai récemment participé en tant qu’experte nationale au projet ESPON-Cadec – valorisation et diffusion des concepts ESPON, un projet coordonné par Frédéric SANTA MARIA.

Nous sommes actuellement en train de préparer deux réseaux pour deux nouveaux projets. Si les demandes aboutissent, nous travaillerons ensemble pendant les 3 prochaines années, ce qui représente une bonne opportunité de rédaction d’articles et d’intégration de jeunes chercheur·euse·s.

En matière de publication, le professeur Frédéric SANTA MARIA et moi même sommes en train de préparer un article commun sur la mise en œuvre de l’aménagement du territoire dans nos deux pays.

• Quelle a été votre meilleure expérience au cours de votre séjour ?

J’ai vraiment apprécié l’ensemble du séjour. Je peux peut-être souligner la rencontre avec les autres universitaire lors des cours de Master ou la possibilité de discuter de mes recherches au fil des entrevues et des discussions avec mes collègues.

Dans le cadre de ses travaux, le Groupe de Travail « Mobilités et spatialités » du LabEx DynamiTe a invité Alison MOUNTZ pour une période de dix jours, à compter du mercredi 12 octobre 2022.

Alison MOUNTZ est professeure de géographie à la Balsillie School of International Affairs de l’université Wilfrid Laurier et titulaire de la chaire canadienne sur les migrations globales. Elle dirige le centre de recherche international sur les migrations, ainsi que la revue Environment and Planning C: Politics and Space. Cest l’une des figures de proue de la géographie politique et du genre, et ses travaux portent en particulier sur les mobilités, les migrations, l’asile, les frontières, dans une optique féministe et participative.

Cette collaboration avec Alison MOUNTZ s’inscrit dans la continuité d’échanges entre le Groupe de Travail « Mobilités et Spatialités » avec des chercheuses féministes spécialistes de l’articulation du genre et des mobilités internationales, et basées au Canada.

Dans le cadre de ses travaux, le Groupe de Travail « Normativités environnementales face aux catastrophes climatiques » du LabEx DynamiTe a invité Vida PANITCH pour une période de quatre semaines, à compter du lundi 23 mai 2022.

Vida PANITCH est professeure associée en philosophie spécialisée en bioéthique à la Carleton University d’Ottawa. Son travail a jusqu’ici porté sur la marchandisation des biens corporels et des biens civiques dans une perspective de justice.

Dans le cadre du Groupe de Travail « Normativités environnementales face aux catastrophes climatiques », son travail a été étendu à la compréhension des implications éthiques des normes environnementales, en particulier celles autorisant ou limitant la marchandisation des services environnementaux et des semences. Ceci a permis d’examiner au sein du Groupe de Travail les conséquences des régulations économiques de la nature en matière de justice.

Sa venue a permis la poursuite de l’ouvrage collectif « The Routledge Handbook of Commodification », que Vida PANITCH co-édite avec Elodie BERTRAND et auquel contribue Catherine LARRÈRE, ainsi que l’organisation d’une conférence sur le même thème.

Dans le cadre de ses travaux, le Groupe de Travail « L’espace de la mobilité » du LabEx DynamiTe a invité Mme Rachel SILVEY pour une période d’un mois et demi, du 10 février au 23 mars.

À l’occasion de ce séjour, Mme SILVEY a donné des conférences et a dispensé plusieurs heures de cours. Des programmes de recherche en commun ont également été développés.

Elle est intervenue notamment dans le cadre du séminaire « Genre, Mobilités, Spatialités », organisé par le Groupe de Travail « L’espace de la mobilité ».

Professeure à l’université de Toronto, Rachel SILVEY figure parmi les spécialistes les plus reconnues de la géographie des mobilités, des migrations et du genre. Elle a publié de nombreux articles sur la relation entre mobilités et spatialités, notamment sous l’angle d’une lecture scalaire.

Ses recherches portent entre autres sur la migration, l’Indonésie, la théorie féministe et les politiques de transnationalisme. Plus récemment, elle a concentré ses recherches sur la manière dont les politiques migratoires de genre sont influencées par les religions.

Dans le cadre de ses travaux, le Groupe de Travail « Produire la ville ordinaire » du LabEx DynamiTe a invité Rafael SOARES GONÇALVES pour une période de quatre semaines, à compter du lundi 7 janvier 2019.

Pendant son séjour, Rafael SOARES GONÇALVES a pris part aux travaux du Groupe de Travail, et a dispené plusieurs heures de cours consacrées à la production de la ville informelle à Rio de Janeiro. Il a également donné plusieurs conférences.

Juriste et Historien, Rafael SOARES GONÇALVES est docteur en Histoire et Civilisation. Il est actuellement professeur au sein du département « service social » de l’Université pontificale catholique de Rio de Janeiro (PUC‑Rio). Il est aussi coordinateur du laboratoire d’études urbaines et socio-environnementales, et chercheur à la Fondation pour le soutien à la recherche de l’État de Rio de Janeiro (Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado do Rio de Janeiro) et au Conseil national de développement scientifique et technologique (Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico).

Dans le cadre de ses travaux, le Groupe de Travail « Réseaux et territoires » du LabEx DynamiTe a invité Olivier SYKES pour une période de deux mois, du 28 octobre au 20 décembre 2014.

A travers cette invitation, une réflexion sur la manière dont sont légitimées les politiques de développement des réseaux, principalement les réseaux de transports, au regard des enjeux de redéveloppement urbain et régional a pu être initiée.

Olivier SYKES a profité de son séjour pour donner des conférences, et dispenser plusieurs heures de cours, notamment dans le cursus urbanisme et aménagement de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Olivier SYKES est conférencier à l’université de Liverpool. Ses recherches se concentrent principalement sur ​​l’européanisation, la planification comparative et les politiques urbaines. Ses publications concernent notamment les impacts de l’Union européenne sur les pratiques d’aménagement du territoire dans les États membres et la façon dont ceux-ci pourraient être conceptualisées et évalués, ainsi que les politiques de planification et de régénération urbaine dans différents pays. Il est impliqué dans des projets de recherche transnationaux, et des travaux éditoriaux pour des revues internationales à comité de lecture.

Ses enseignement portent sur : la planification au niveau international, la planification comparative et les politiques urbaines, l’aménagement du territoire européen et le développement régional, et les cadres institutionnels et de gouvernance de la planification au Royaume-Uni

En 2014, il a reçu de l’Association of European Schools of Planning (AESOP) le prix d’excellence en enseignement.